{ EMiLY MEESTER. { ADMiN }

Il devait être entre une heure et deux heures trente du matin, un samedi, lorsque June, emmitouflé maladroitement dans les couvertures, avait fini par éteindre les lumières de sa petite chambre et se décider à s'endormir. Alors qu'un sombre manteau noir venait de recouvrir la ville de Seattles, l'immense hôpitale était plongeait dans un silence profond, aussi calme qu'un cimetière. Remarquez, pour certains, l'hôpital était l'avant dernière destination avant la mort non ? Tous le monde ne réussissait pas toujours à survivre malheureusement. Même entre les mains du meilleur chirurgien de l'hôpital. Dans la chambre d'hopital, plongeait dans un noir presque totale, le visage enfantin de la jeune femme était faiblement éclairée par les lampadaires qui ornaient la rue de l'éxterieur. Paupières closes, la jolie blonde commença à peine perdre conscience, sans perte de la réception sensitive, du monde extérieur, accompagnée d'une diminution progressive du tonus... Alors qu'elle commençait à peine de s'endormir, un bruillant moteur,provenant d'une voiture vint résonnait dans ses oreilles et la sortir de son faible sommeil. À présent, il était impossible de se rendormir. La jolie blonde resta inerte quelques instants, observant avec une lassitude palpable la couleur crème du plafond qui ne cessait de la faire soupirer. Ce n'est que plusieurs minutes plus tard qu'elle trouva le courage d'activer le bouton de la lampe de chevet qui illumina son visage angélique... Tandis qu'un énième soupire s'échappait de ses lèvres, elle regardait ce qu'elle pourait bien trouver autours d'elle. Le fait de se retrouvait à l'hôpitale aujourd'hui l'exspérée beaucoup. Elle n'amait pas trop les hôpitaux et encore moins le matériels qu'utilisaient les médecins. Le monde médicale n'était pas vraiment fait pour elle. Quand elle apperçut un vieux magasines qui trainait sur une petite table de nuit à peine à sa hauteur juste à côté de son lit, la jeune femme prit en mains de ce qu'on pourrait appeller un livre, de quelques pages, et se mit à le feuilletait attentivement. Du couloir, on pouvait seulement appercevoir un magsine grand ouvert et de longs doigts fins possédant des ongles parfaitement bien manucurés et recouvert d'une fine couche de vernie beige de clair. Quelques minutes s’écoulèrent, en silence. La jolie blonde lisait toujours avec autant d'importance les nouvelles d'un magasine qui daté surement déjà d'un an ou plus. Aucune importance, le tout était de s'occuper en attendant déséspérément, que la fatigue atteigne l'ésprit de June. Immobilisait dans son lit, le temps passé. Les minutes lui semblait être des heures... De sa chambre, June pouvait entendre de temps en temps, de vagues parôles provenant du couloir. Les médecins étaient toujours au prêt de leurs patients. Cela réconforter June, car dans un moment pareil la solitude qui nous ronge minutes par minutes, est surement notre pire ennemie...

FLASH BACK

Ce fut durant un même samedi, mais un peu plus tôt dans la matinée, que June se réveilla après une nuit relativement courte, mais tout de même reposante, Elle ne pouvait le nier. Lorsqu’elle ouvrit les yeux, elle s’étonna des jeux de lumière qui avaient envahi la pièce, jouant ça et là avec les volets de sa fenêtre. Elle posa ses yeux sur le réveille-matin qui indiquait huit heures trente précises ; quand elle comprit qu’elle avait dormi plus de deux heures que d’ordinaire, elle se redressa, tendant le bras pour attraper les quelques vêtements jetés au bas de son lit et se décida à poser un pied sur le sol. Avant même d’arriver devant la porte de la salle de bain, June entendit quelques bruits qui provenaient du rez-de-chaussée et elle comprit qu’une personne était déjà éveillée. En y réfléchissant, il s’agissait peut-être même de de père. Ce dernier avait pour habitude de profiter de ses journées dès le matin. Monsieur Acklès dormait chez sa fille car entre Mr & Mrs Acklès les choses n'étaient pas en ordres. Le divorce approchait de jours en jours. Et maintenant c'est June qui devait supportée le mauvais caractère de son trop envahissant. Quelques minutes plus tard, la jeune femme était douchée et préparée, prête à sortir de cette chambre qu’elle tentait de côtoyer le moins possible. Elle ne lui servait qu’à se reposer, pour être tout à fait franc. Le reste du temps, elle préférait vaquer à d’autres occupations dans le reste de la maison, ou en dehors. Ce qui était plutôt compréhensible lorsque l’on reconsidérait les choses.
C'était dans cette pièce qu'un jour de fête, ses parents eurent une grosse dispute. Plus simplement, cette pièce, c’était signe d’échec. Alors qu’elle lui avait avoué souhaiter plus que tout que ses parents redeviennent le couple qu’ils avaient été, ils replongeaient dans une crise des plus difficiles. N’y tenant plus, la jeune femme préféra sortir de la pièce, y laissant également toutes ces pensées obscures. Elle descendit les escaliers sans réellement se presser, préférant se donner le temps de penser aux diverses situations devant lesquelles il se retrouverait confronté, une fois en face de son père. Et bien, dès qu’elle posa le regard sur lui ; tous les plans qu’elle avait bien eu le temps de monter s’étaient évanouis. En un rien de temps. Sur le visage de Monsieur Acklès, June y vit un sourire éclatant, se qui ne la rassura le moins du monde. La plupart du temps son père avait la geule de bois et n'était pas très joyeux pendant cette malheureuse période difficile de sa vie qui allait le devenir encore plus dans quelques minutes... Mr Acklès ne niait pas tous les faits, il sentait coupable et il en assumait les conséquences de son caractère sur leur couple. June se dirigea vers le frigo et y pris une bouteille fraîche de Jus d'orange, puis la posa sur le comtoire de leur cuisine américaine. Elle en but une gorgée puis lui demanda en haussant les sourcils :

- Quesqui se passe ?" dit-elle en fourrant ensuite ses mains dans les poches de son jean. C’était effrayant de constater à quel point le dialogue s’était refroidi lorsque June engagea la conversation. La jeune femme fixa de ses beaux yeux cristlins le sourire éblouissant que son père affichait toujours ence moment même. Puis, June détourna le regard et ajouta :

"- Bon je te ramène chez maman ?!... "

En écoutant ses parôles, on pouvait en conclure que ce n'était pasla premère fois que June ramenait son père chez lui. Celui-ci voulait à tout prix éviter sa femme. Mais June en avait assez de voir son père chez elle 24h/24h. Son regard se porta de nouveau sur son père qui aquiessa sa question avec hésitation. La jolie blonde alors desuite ses clés et ne prit mêmepas le temps de rangeait la bouteille de Jus d'orange qu'elle venait de sortir. Elle prit sa veste et son sac puis elle claqua la porte dernière elle et inséra dans la sérrure un petite clés grise, fit deux tours sur elle même puis la resortie avec délicatesse pour la rangeait soigneusement dans l'une des poches de son sac à main. Et une nouvelle fois, June prit la route direction la maison familiale. Mais aujourd'hui n'était pas un jour comme les autres, le destin de June allait littéralement changeait au cours de cette dernière petite heure...


FiN DU FLASH BACK