Le hall n’est pas très accueillant mais on s’y fait. Quelques fauteuils par-ci, des plantes par-là, le minimum pour un hôtel. Le hall est moyen, il ne ressemble à aucun autre hall, des photos représentant la grande place, l’hôtel, la station service, il y a 50 ans.

Une cheminée, un tableau au-dessus, des canapés aux quatre coins de la pièce, des tables basses avec de vieux magazines dessus. Les fenêtres donnent sur la grande place et sur la station essence. Il n’y a plus de bois dans la cheminée mais que des cendres.

Les couloirs ne donnent pas envie d’y rester longtemps. Des chaises sont placées toutes les deux portes. Le papier peint se décolle à quelque endroit. Où il n’y a pas de chaise il y a des guéridons avec des fleurs sécher ou une lampe ! Les escaliers grincent rien de très rassurant.

Le sous-sol est assez sordide, les murs sentent l’humidité, les lampes s’allument une fois sur deux, les cafards grouillent. Heureusement que cet endroit est interdit aux clients. L’odeur de la mort flotte dans l’air comme ci les murs et les objets en étaient imprégnés.